Alain Marc à la rencontre des gendarmes

Rédigé le 17/03/2022

Samedi matin nous étions à la gendarmerie de St-Rome de Tarn aux côtés d’Alain Marc Sénateur et des gendarmes pour une visite dans le cadre d’un dispositif national spécifique de la gendarmerie, le PPLE (Présents Pour les Elus).
« C’est un dispositif qui permet de faire connaître aux élus les équipements et le fonctionnement de la gendarmerie » nous expliquait le Major Alain Garcia commandant la Brigade de St-Affrique « mais en milieu rural on fait ça depuis très longtemps, on est au contact permanent avec la population et les élus ».
Une visite qui tenait à cœur à Alain Marc, fils de gendarme qui connaît bien les lieux à St Rome de Tarn où son père a effectué une partie de sa carrière, comme il l’expliquait au capitaine Le Gac commandant en second de la Compagnie de Millau. Ils étaient aux côtés des gendarmes de St-Rome de Tarn et son commandant l'Adjudant Rougé et du PSIG de St-Affrique representé par l'adjudant  Aupetit venus présenter les équipements dont ils disposent pour leurs interventions. Un échange au cours duquel les gendarmes ont aussi fait part de leur quotidien que ce soit sur le terrain mais aussi d'un point de vue administratif.  Le sénateur a posé beaucoup de questions qui pourront lui permettre de proposer des choses dans le cadre de son mandat et des propositions de lois.
Pour rappel la communauté de brigades de St-Affrique regroupe les brigades de St-Affrique, Broquiès et St Rome de Tarn pour 27 personnels.Le PSIG pour sa part compte 12 personnels. Une BGE (Brigade de Gestion des Événements) basée à St-Affrique a été mise en place au mois de septembre dernier pour des patrouilles tous les soirs. Ce sont des patrouilles de trois gendarmes venant des communautés de brigades de Salles Curan, Millau, Séverac, St-Affrique et Belmont. Les équipes tournent chaque jour. « Il y a plus de présence sur le secteur et le but est d’être réactifs. Il y a toujours une patrouille sur roues pour réagir, prête à intervenir » expliquait le Major Garcia. «Ils sont des primo intervenants et peuvent appeler les équipes locales en soutien si besoin. C’est un dispositif en plus du PSIG qui lui aussi continue ses patrouilles ».
D.R.