Richard VILAPLANA partage aujourd'hui sa vie entre la région Occitanie et l’Andalousie. Il a été maire de la  commune de FAYET pendant presque vingt ans, ainsi que président de la Communauté de Communes de Camarès. Dès son plus jeune âge, il s'est passionné pour la culture taurine.

Comment vous est venue l'envie d'écrire ce roman ?
Il y a deux choses qui ont motivé son écriture. La première, c'est que depuis mon adolescence j'écris des poèmes et des nouvelles. La seconde, c'est que grâce ou à cause du confinement, j'ai décidé de me lancer dans l'écriture de ce manuscrit qui attendait, je pense, un déclic personnel. Étant confiné dans ma maison d’hôtes en Andalousie, l'histoire d'un jeune français venant vivre son rêve dans le sud de l’Espagne s'est vite imposé.

Que raconte ce roman ?
Mon livre parle d' Hugo, un jeune Biterrois, âgé de 19 ans qui décide après l'abandon de sa mère et le décès de son  père, de partir en Andalousie pour devenir matador de taureaux. Il s'installe dans un petit village blanc, où il va tout faire pour forcer son destin. Au fil des jours, il va y rencontrer, l'amitié, l'amour et même la haine. Sur son chemin des obstacles vont se dresser, des révélations vont bouleverser sa vie, mais il n’abandonnera jamais son rêve......

Peut on lire ce roman sans être amateur de culture taurine ?
Ce manuscrit se veut «grand public», car il est avant tout une histoire humaine et intemporelle, qui met en exergue la passion, l'amour et le rêve. Ce livre n'est  aucunement un plaidoyer en faveur de la corrida, mais simplement un récit qui a pour décor le monde de la tauromachie. Il faut se laisser prendre par l'histoire et les personnages, se laisser emporter par les odeurs et la musique de cette terre unique qu'est l'Andalousie.

Ou peut-on trouver votre manuscrit ?
Le roman «  Au bout de son sang » est édité par Le Lys Bleu Éditions, que je remercie tout particulièrement pour leur confiance. On peut trouver mon roman chez tout bon libraire, et sur l'ensemble des sites de vente de livres sur Internet.