Le Viala du Dourdou : du pain, des épices

Rédigé le 15/04/2020


Confinés, nous voilà bien obligés de réfléchir. Nous redécouvrons les vertus de la débrouille, le plaisir de faire ce qui paraissait impossible tant le temps manquait. Le besoin impérieux d'aller à la ville s'estompe.
Mesurons-nous notre chance de voir la boulangère passer tous les dimanches matins et l'épicier tous les mercredi après midi? Comprenons nous qu'ils nous rendent un grand service qui ne les enrichit pas en espèces sonnantes qui pourraient devenir trébuchantes si nous faisons semblant d'ignorer leur passage?
Bravo et merci à notre boulangère du fournil de Broquiès et à notre épicier qui vient depuis Belmont.