Vabres l'Abbaye

Rédigé le 18/11/2020

Travaux de réhabilitation

La commune de Vabres l’Abbaye a lancé la révision du zonage assainissement en 2018 afin de mettre en adéquation les perspectives de développement de la commune. Dans la continuité des travaux de la réhabilitation du centre bourg, la commune a souhaité mettre en œuvre la réhabilitation des réseaux par mise en séparatif sur le hameau du Bourguet.
Le maître d’œuvre choisi est le cabinet ALTEREO et l’entreprise qui a réalisé les travaux est GUIPAL TP.
Les travaux comprenaient la mise en œuvre d’un réseau d’assainissement collectif, des boîtes de branchement pour le raccordement des particuliers (soit au total 13 branchements) et la création d’un poste de refoulement afin de remonter les eaux collectées vers le réseau existant et un réseau de refoulement. Le coût total des travaux est de
209 000 euros HT. (incluant  30 689 € sur le domaine privé).
Les frais de raccordement à charge des usagers sont aussi subventionnés à hauteur de 50% par l’Agence de l’Eau Adour Garonne sur le montant HT des travaux.
La taxe de raccordement des usagers est de 2500 euros par nouveau branchement et le montant des subventions obtenues est de 137 071 €  (123 386 € de l’Agence de l’Eau et 13 685 € du Conseil Départemental).
La réception des travaux a eu lieu le 10 novembre 2020.

 



Crise du Covid 19 : La ruée sur les poules et hélas des abondons.

En France comme dans toute l’Europe, la période du confinement aura été marquée par une véritable ruée sur les poules. Pendant plusieurs semaines, la demande était si forte que bien malin était celui qui réussissait à trouver deux poulettes. Les particuliers ont profité de la période du confinement pour se lancer dans l’aventure du poulailler. Certains se les sont arrachées, dans certaines jardineries leurs ventes ont connu une progression jusqu’à 71% en juin, des magasins de bricolage ont même été en rupture de stock de grillage à poules. Pour les éleveurs, comme pour les revendeurs, la difficulté à trouver des poules pendant de longs mois est aussi due à la peur de pénurie qui a aggravé les choses. Ceux qui avaient besoin de 3 pondeuses en prenaient cinq, six voir dix, avant on nous en demandait deux en moyenne, maintenant c’est quatre reconnaît un éleveur.
Hélas, il semble bien qu’il y ait un revers à la médaille de cet engouement décuplé pour les poules au jardin pendant la période de confinement ! Début juillet un éleveur signalait : certains acquéreurs ont pris l’adoption à la légère et il y a eu assez rapidement un nombre records d’abandons de poules, les gens ne sachant plus trop quoi en faire pendant leurs congés d’été. Aussi, rappelons le : inviter des poules au jardin n’est pas une décision qui se prend sur un coup de tête.