St Rome de Tarn : infos générales

Rédigé le 15/05/2020

Vie religieuse catholique paroissiale

Pas de célébration dominicale publique, la messe sera retransmise à la télévision.

L’onymie du village réalisée et communiquée

Par courrier individuel, le maire Jacques Arlès vient d’adresser à chaque résidant du village son nouveau certificat d’adresse. Rappelons que, suite à la délibération du Conseil municipal en date du 14 novembre 2018 et aux propositions de la commission mixte de réflexion sur ce sujet ce dossier donne lieu à la communication de l’adresse officielle de chacune et chacun. Dans cette attestation, sont ainsi précisés le numéro de l’habitation et le nom de la voie publique. Un vrai travail de « bénédictin ou d’augustin », puisque que 600 points ont été recensés et identifiés par les responsables et plus particulièrement MM. Marc Gély et Francis Mancino. Désormais la précision des adresses facilitera la distribution et la remise des lettres, colis et pourront guider les visiteurs. Un courrier joint détaille les formalités administratives à opérer afin de communiquer au plus vite les changements intervenus.  

 

La sonore commémoration du 8 mai.
Tandis que, compte tenu des mesures en cours, le maire Jacques Arlès conduisait une sobre cérémonie au monument aux morts, les cloches de l’église rappelaient, par une envolée, à l’entière population  le souvenir de cette journée du 8 mai. Ce sont elles, qui il y a 75 ans ont annoncé la bonne nouvelle. Historiquement, pour la guerre de 14/18, une liste officielle des soldats tués durant le conflit a été établie par commune, constituant ainsi un livre d’Or des Morts pour la France. Concernant la deuxième guerre mondiale, seuls les noms gravés sur la stèle rappellent  la mémoire collective. A St-Rome-de-Tarn, sur une plaque commémorative on peut lire huit noms, une première recherche permet d’apporter quelques précisions :   
Albinet Louis, militaire au 44ème Régiment d’Infanterie Coloniale, mort le 4 août 1942 à l’hôpital des Prisonniers de Guerres du stalag VI à Südkirchen (Allemagne), il avait 34 ans.
Bonnet Pierre, militaire au 16ème Régiment d’Infanterie, mort le 31 mai 1940 lors du torpillage du « Sirocco », il avait 24 ans.
Cros Fernand, militaire au 3ème Régiment d’Infanterie Coloniale mort le 9 juin 1940 au Bois de Dieulet (Meuse) il avait 33 ans. Son père, Charles CROS, sergent au 289ème Régiment d’Infanterie était tombé le 21 mai 1915 au Plateau de Notre-Dame-de-Lorette, il avait 41 ans.
Joulié Antoine, militaire à la 5ème Compagnie des FTPF, tué au combat le 28 juillet 1944, il avait 18 ans.
Rascalou René, militaire au 364ème RAL tué au combat  le 1er juin 1940 à Dunkerque, il avait 26 ans.  
Vaysset Marcel, militaire au 96èmee  RIA, mort le 12 juin 1940 à Neville, il avait 25 ans.
Pas de renseignement trouvé pour André Aldebert et Louis Migayrou ; leur communication permettrait de diffuser de précieuses informations sur ces serviteurs de la Nation, récompensant ainsi leur sacrifice.